Cette semaine, le gouvernement indien a effectué des perquisitions dans plus de 40 sites de Vivo en Inde, à la suite d’allégations selon lesquelles le fabricant chinois de smartphones participait au blanchiment d’argent. Dans le cadre des raids, environ 60 millions de dollars ont été saisis et 199 des comptes bancaires de Vivo ont été gelés. Les enquêtes se déroulent depuis au moins avril, lorsque des rapports ont indiqué que la Direction de l’application de la loi (ED) de l’Inde cherchait à sonder l’entreprise & rsquo…
Cette semaine, le gouvernement indien a effectué des perquisitions dans plus de 40 sites de Vivo en Inde, à la suite d’allégations selon lesquelles le fabricant chinois de smartphones participait au blanchiment d’argent.
Dans le cadre des raids, environ 60 millions de dollars ont été saisis et 199 des comptes bancaires de Vivo ont été gelés.
Les enquêtes se déroulent depuis au moins avril, lorsque des rapports ont indiqué que la Direction de l’application de la loi indienne (ED) cherchait à enquêter sur les « irrégularités importantes dans la propriété et les rapports financiers » de l’entreprise.
La Direction allègue que les procédures de vente de l’unité indienne de Vivo ont été transférées hors du pays, permettant ainsi à l’unité de déclarer des pertes en Inde et d’éviter les paiements d’impôts connexes. La Direction estime que près de la moitié des 15,82 milliards de dollars de revenus indiens de la société ont été renvoyés en Chine, en partie ou en totalité illégalement.
Ce n’est pas la première fois que l’ED défie les fabricants chinois de smartphones sur leurs finances ces derniers mois. En mai, l’ED a saisi environ 730 millions de dollars au chinois Xiaomi, affirmant que le vendeur avait effectué des « envois de fonds illégaux » similaires.
Vivo et Xiaomi clament leur innocence et coopèrent actuellement avec le gouvernement indien tout au long de ces enquêtes.
Ces enquêtes financières se déroulent dans un contexte de fortes tensions entre l’Inde et la Chine. Les affrontements meurtriers dans la région du Cachemire en 2020 ont conduit à des relations de plus en plus épineuses entre les deux nations, se manifestant progressivement par diverses politiques ciblant directement ou indirectement les entreprises chinoises.
Au cours des deux dernières années, l’Inde a interdit 321 applications chinoises et a également adopté des lois interdisant aux fabricants chinois d’équipements radio, Huawei et ZTE, de participer aux essais 5G du pays, invoquant des problèmes de sécurité dans les deux cas.
Mais plus qu’une simple question de sécurité nationale, l’Inde a également tenté de se débarrasser de sa dépendance économique vis-à-vis de la Chine, l’un de ses principaux partenaires commerciaux. En ce qui concerne les smartphones, par exemple, les fabricants chinois contrôlent environ les trois quarts du marché indien ; selon Counterpoint Research, Vivo et Xiaomi représentent environ 15 % et 24 % du marché, tandis que Samsung est le troisième acteur majeur avec 18 %.
En fait, le gouvernement indien a lancé ces dernières années de nombreuses initiatives pour aider à soutenir et à développer les principales industries nationales du pays, en s’appuyant sur l’initiative Made in India. Les industries de la technologie et des télécommunications sont toutes deux clairement bénéficiaires de cette politique, le gouvernement accordant des incitations majeures à la fabrication nationale de semi-conducteurs et poussant même à la création de sa propre norme 5G, connue sous le nom de 5Gi.
Cela pourrait ouvrir la porte à des entreprises indiennes entreprenantes pour lancer leurs propres produits sur un marché par ailleurs hautement concurrentiel, siphonnant potentiellement une partie du marché alors que les grandes entreprises chinoises sont de plus en plus surveillées. Le géant indien des télécoms Reliance Jio, par exemple, semble déjà bien positionné à cet égard, ayant déjà annoncé qu’il créait son propre matériel de télécommunications 5G, ainsi qu’ayant sorti son propre smartphone, le JioPhone, à l’été dernier.
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